Les bonnes nouvelles sont nombreuses pour les autocars « Macron ». D'après le rapport annuel de l'Autorité de régulation des activités ferroviaires et routières, le nombre de voyageurs s'est établi à 6,2 millions de personnes l'an dernier. La fréquentation a été forte durant les deux derniers trimestres : 2 millions pendant le troisième trimestre, et 1,56 million au dernier trimestre. Une différence qui s'explique par la saisonnalité logique du secteur : l'été, les Français voyagent plus volontiers.
Le résultat du quatrième trimestre se compare en revanche très favorablement par rapport au même trimestre de l'année précédente, durant lequel les autocars avaient transporté 640 000 voyageurs. Depuis l'ouverture du marché, ce sont près de 7 millions de personnes qui ont profité des prix proposés par les entreprises d'autocars. Le secteur a généré l'an dernier 83,2 millions d'euros de chiffre d'affaires, et il emploie 2 082 salariés.
Toutefois, tout n'est pas forcément rose pour le secteur, puisque le taux d'occupation moyen par bus a été de 36,1% seulement au quatrième trimestre, contre 46,6% au troisième trimestre. Les autocaristes ont toutefois augmenté la recette moyenne par passager aux 100 km entre les deux trimestres de 18% : elle est passée de 4 à 4,7 euros, ce qui leur permet de compenser les sièges vides.
Le résultat du quatrième trimestre se compare en revanche très favorablement par rapport au même trimestre de l'année précédente, durant lequel les autocars avaient transporté 640 000 voyageurs. Depuis l'ouverture du marché, ce sont près de 7 millions de personnes qui ont profité des prix proposés par les entreprises d'autocars. Le secteur a généré l'an dernier 83,2 millions d'euros de chiffre d'affaires, et il emploie 2 082 salariés.
Toutefois, tout n'est pas forcément rose pour le secteur, puisque le taux d'occupation moyen par bus a été de 36,1% seulement au quatrième trimestre, contre 46,6% au troisième trimestre. Les autocaristes ont toutefois augmenté la recette moyenne par passager aux 100 km entre les deux trimestres de 18% : elle est passée de 4 à 4,7 euros, ce qui leur permet de compenser les sièges vides.